Dans un monde du travail de plus en plus compétitif, où la guerre du tous contre tous devient progressivement la règle, l’estime de soi est mise à mal et la confiance en soi avec.
Et je vous le donne en mille, qui tire son épingle du jeu ? Les plus compétents ? NON.
C’est injuste, mais ceux qui attirent les faveurs des décideurs sont ceux qui ne doutent pas de leurs capacités (même les plus incompétents).
Sérieusement ?
Regardez autour de vous, si vous travaillez dans une grosse boîte, vous avez certainement ce type de collègues:
– Le manager incompétent qui a enchaîné les promotions.
– Celui qui brasse de l’air à longueur de journée mais qui récolte des compliments.
– Le pire: celui qui passe son temps à dénigrer le travail des autres en espérant se faire valoir… Et voir que certains tombent dans le panneau.
Le point commun entre ces profils ? Ils ne doutent pas, ils se mettent en valeur et valorisent leurs réussites.
Euh… Je veux avoir confiance en moi mais pas pour ressembler à ces personnes…
Bien sûr, et je ne vous recommanderai jamais de vous inspirer de ces profils. Mais ce que je veux vous dire, c’est que si vous ne vous affirmez pas, d’autres prendront la place que vous méritez.
Je me rappelle encore de ce gamin timide et réservé qui participait au match de foot dominical… Depuis le banc des remplaçants.
Il aura fallu un an au coach pour se rendre compte que j’avais ma place sur le terrain. Un an après lequel un autre introverti et mal affirmé, certainement aussi valeureux que moi, est venu prendre ma place de spectateur sur le banc de touche.
Et c’est comme ça dans tous les domaines…
Tout le monde me donne des conseils pour prendre confiance en moi, mais je n’y arrive pas
C’est normal. Pour appliquer ces conseils, la plupart du temps, il faut déjà avoir confiance en soi. Exceptionnellement, vous ferez un petit coup d’éclat dans un sursaut de confiance.
Mais généralement, ça ne règlera pas le problème.
J’écrit cet article pour deux raisons :
- La première est que vous avez besoin de connaître les leviers qui vous permettent d’augmenter votre confiance en vous. Ensuite vous pourrez appliquer les conseils que vous avez reçus.
- La deuxième est que je me bats depuis longtemps contre ceux qui profitent du mal être ou des faiblesses des autres pour les écraser ou abuser de leur gentillesse. En écrivant cet article, j’espère qu’au moins quelques-uns d’entre vous surmonteront leur manque de confiance. Après quoi, vous démultiplierez mon rayon d’action en bottant, à votre tour, les fesses de ces personnes malfaisantes.
Confiance en soi, estime de soi, quelles différences ?
La confiance en soi désigne le fait de croire en soi, de croire en sa capacité à réaliser quelque chose. Elle nous motive. C’est elle qui nous incite à nous mettre en mouvement pour réaliser de grandes choses.
La confiance en soi nous permet d’exploiter pleinement nos compétences personnelles. Elle s’entretient et se nourrit au gré de nos réussites, mais elle est pénalisée aussi par nos échecs.
L’estime de soi désigne plus généralement la façon dont on se considère, l’image de soi. C’est notre sentiment de valeur personnelle.
Elle nous fait nous sentir fier lorsque l’on juge que l’on a accompli une bonne action… Et plutôt honteux lorsque l’on n’a pas de quoi être fier.
Nota Bene:
Ces précisions ainsi faites, il m’arrivera peut-être d’utiliser maladroitement l’un pour l’autre dans cet article tant ces notions sont entremêlées. Désolé pour les puristes, mais le but est d’apporter des solutions concrètes pour que certains puissent se sentir mieux, pas d’écrire un article de psychologie clinique.
Est-ce que c’est si grave de manquer de confiance en soi ?
Grave ou pas, c’est une échelle de valeurs propre à chacun. Ce que je peux vous dire, ce sont les conséquences que l’on observe lorsque l’on manque de confiance en soi.
Ce que les études de psychologie montrent, c’est que les personnes qui manquent de confiance en elles ont du mal à prendre des décisions.
Elles sont moins motivées pour entreprendre des changements dans leur vie, et préfèrent plutôt le statu quo que la prise de risque, même minime.
Et c’est un cercle vicieux !
Je vous ai dit plus haut que la confiance en soi se nourrit de nos succès, de nos réalisations. Mais si vous ne tentez jamais rien, vous n’avez jamais la sensation de vous accomplir.
Sans accomplissement personnel, l’estime de soi diminue également parce qu’il n’y a rien qui vient nous redonner un peu de fierté.
Alors, on s’efface et bientôt ce sont les autres qui décident de tout et nous sommes relégués au rang de suiveur. Celui ou celle qui se plie en quatre pour faire plaisir à tout le monde mais qui oublie ses propres envies.
Que vous considériez cela comme quelque chose de grave ou pas, je vous donne quelques astuces à tester pour que vous décidiez si la vie est plus belle lorsque l’on se fait confiance.
Voici les conseils que vous entendrez partout et que vous n’appliquerez sans doute jamais
Les copains bien intentionnés, les gourous du développement personnel ou les coachs de vie plus ou moins autoproclamés ont tous à peu près le même discours: il faut oser, vaincre sa timidité, arrêter de douter de soi, éliminer les pensées négatives.
En gros, on vous dit que pour ne plus manquer de confiance en soi il faut… Ne plus manquer de confiance en vous.
Je vous ai réservé un petit florilège des conseils que vous n’arriverez pas à appliquer si vous manquez de confiance en vous.
Avant bien sûr, de vous aider à acquérir un niveau d’assurance qui vous permettra d’appliquer ces conseils.
Ne tendez plus le bâton pour vous faire battre
» Il est délicieux ce gâteau, c’est toi qui l’a fait? »
« Oui, tu sais ce n’est pas grand chose, c’est une recette basique… »
En faisant ce type de réponse, vous vous empêchez de vous réjouir d’avoir fait plaisir à votre invité. On vous dit de vous contenter d’un « merci », ou de « merci je suis content que ça te plaise ». Mais votre naturel reprend toujours le dessus.
Ou encore au travail:
Vous avez passé votre week-end à peaufiner votre présentation pour la réunion du lundi, et vous commencez par dire:
« J’espère que ce sera compréhensible… »
« Je vais tenter de vous montrer… »
« J’ai préparé une petite présentation rapide… »
On vous dit peut-être de ne jamais rabaisser votre travail avant qu’il soit évalué, s’il y a des choses à corriger, vous le saurez bien assez tôt.
C’est un très bon conseil, parce qu’à chaque fois que vous vous rabaissez, vous baissez aussi la qualité perçue de votre travail.
Sauf que quand on doute de soi, on est en mode automatique !
Mettez-vous dans les meilleures conditions
Rappelez-vous vos premières soirées d’adolescent. Rappelez-vous comment ce nouveau vêtement à la mode, cette nouvelle coupe de cheveux, vous rendait plus confiant pour entrer sur la piste de danse ou pour aborder la personne qui vous plaisait.
Vous vous mettiez juste dans les meilleures conditions, et ça vous motivait pour surmonter vos appréhensions.
Voici un conseil que j’ai entendu d’un coach en développement personnel…
Euh… Mais quand on était un ado qui manquait déjà de confiance, on était juste bien habillé, assis sur une chaise, au fond de la salle des fêtes.
Deuxième conseil, raté aussi.
Adoptez la posture d’un mâle alpha (même les femmes !)
Je me rends compte que le titre de ce chapitre est peut-être un peu extrême.
Mais c’est un conseil que l’on entend souvent dans la bouche des « motivational speaker » américains.
Mes problèmes avec ça:
1) Ce n’est pas quelque chose que l’on décide du jour au lendemain quand on ne croit pas en soi.
2) La domination n’est pas une relation humaine équilibrée et ce n’est pas ce que je vous recommande.
Par contre la soumission n’est pas acceptable non plus !
Si vous avez tendance à baisser les yeux, à fuir le regard des autres, à vous tenir recroquevillé sur vous, le dos courbé, vous envoyez des signaux aux personnes que vous avez en face de vous.
C’est inconscient, mais vos interlocuteurs auront le sentiment d’avoir le dessus et auront moins tendance à vous faire confiance.
Mais rassurez-vous, on approche du moment ou je vais vous donner de vrais conseils qui vous feront relever la tête.
Avant cela, juste encore un petit conseil moisi !
Osez dire NON !
De l’extérieur, les personnes en manque d’estime d’elles-mêmes ont plutôt bonne réputation, et pour cause !
Toujours prêtes à rendre service, toujours là quand il faut pour faire des heures supplémentaires ou pour prendre en charge plus de travail que les autres. Et il n’y a rien de mal à rendre service, ne nous méprenons pas.
Cependant, lorsque cela vous pousse à négliger vos propres besoins, cela devient un problème. Vous avez le droit à du repos! Vous avez aussi le droit de vivre vos envies et de profiter de votre temps libre.
Et c’est là qu’arrive le conseil le plus moisi que l’on puisse faire à quelqu’un qui n’a aucune confiance soi:
Tu dois dire NON !
Ils ne comprennent pas que les personnes qui ne se font pas confiance préfèreront toujours se réfugier derrière le statu quo et la routine plutôt que d’oser s’affirmer.
Dire « non » est une arme d’une puissance inégalée.
Mais pour l’instant ce n’est pas la vôtre!
Alors, voici le moment que vous attendez sûrement. Je vais vous dire comment faire pour regagner en confiance en soi.
Un petit bilan de compétences s’impose
Pour reprendre confiance en soi, rien de tel qu’un petit changement de paradigme. Ce qui vous manque, ce n’est pas de connaître ce que ferait quelqu’un qui a confiance en lui.
Non, ce qu’il vous faut c’est une stratégie pour développer cette confiance qui vous manque et trouver assez de motivation pour amorcer le changement.
Changement n°1:
Vous n’allez plus vous concentrer sur ce que vous n’arrivez pas à faire. Au contraire, vous allez faire la liste des compétences et savoir-faire que vous maîtrisez.
C’est parce que votre confiance en vous se nourrit de vos compétences et de vos réussites que je vous conseille de dresser la liste de tout ce que vous avez acquis au cours de votre vie.
Je suis certain que vous allez vous surprendre.
Si vous avez l’opportunité de réaliser un bilan de compétences complet, comme c’est parfois proposé par les services de ressources humaines ou par le chômage, profitez-en.
Pour ceux qui veulent le faire seuls, prenez le temps de vous poser à une table avec un crayon et un cahier, et explorez les quatre domaines suivants.
Vous devrez vous creuser un peu la tête pour faire une liste assez exhaustive. Par exemple, imaginons que vous êtes mécanicien. Vous avez certainement tout un tas de compétences en mécanique (diagnostique, réparation, pneumatique, hydraulique…).
Cependant, si vous recevez régulièrement les clients pour prendre en charge leurs demandes et leurs problèmes, vous avez également des compétences en relation clientèle et communication qu’il ne faudrait pas oublier.
Pour un bilan de compétences réussi, je vous invite vraiment à ne pas rester aux compétences qui paraissent les plus évidentes. Vous devez, à partir de situations concrètes, extirper les savoir-faire acquis, mais aussi les compétences relationnelles ou générales.
Vos compétences acquises par la formation
Le premier axe de ce bilan de compétences concerne les savoir-faire que vous avez appris dans un cadre scolaire. Prenez en compte à la fois votre formation initiale mais également toutes les formations professionnelles qui vous ont permis d’obtenir de nouvelles compétences.
Vous avez deux grandes catégories de savoir-faire :
- Les compétences techniques : Ce sont celles qui sont spécifiques au domaine que vous avez étudié.
- Les compétences transversales : Ce sont toutes les compétences générales que vous avez dû maîtriser et que vous pouvez utiliser dans d’autres situations. Par exemple, écrire, compter mais aussi prendre des notes efficacement, rédiger des notes de synthèse, présenter son travail publiquement…
Pour chacune de ces compétences, notez le niveau atteint sur une échelle de 1 à 4 (cf. image)
Vos compétences développées par l’expérience professionnelle
Dans votre métier, vous mobilisez un certain nombre de compétences techniques pour lesquelles vous avez été formé.
Mais vous avez probablement d’autres activités et d’autres compétences que celles qui figurent sur votre fiche de poste. Surtout si vous travaillez dans une petite structure, vous avez certainement dû vous adapter et atteindre une certaine polyvalence.
J’aimerais que vous notiez ici toutes les compétences annexes que vous avez obtenues par l’expérience professionnelle.
Je vous donne quelques exemples :
- Gestion d’équipe ou de planning
- Encadrement de stagiaire
- Accueil client
- Facturation
- Vente
- Création de vitrine
- Prise en charge des clients dans une langue étrangère…
Notez toujours le niveau atteint.
Vos compétences acquises par vos activités extra-professionnelles
Vous commencez à vous rendre compte que vous savez faire une quantité de choses ? Vos compétences ne se limitent pas à ce que vous avez appris à l’école ou dans votre métier.
Toutes vos activités personnelles vous permettent aussi de développer certaines compétences, même si vous n’en avez pas encore conscience.
Vous jardinez et cultivez vos propres légumes ?
Peut-être échelonnez-vous les semis pour répartir les récoltes dans le temps, ou peut-être associez-vous les cultures dans votre jardin pour protéger certaines cultures et éloigner les plantes qui ne s’aiment pas.
Vous mobilisez pour cela des compétences en organisation. Tout comme la personne qui organise régulièrement des vacances ou des week-ends planifiés pour sa famille.
Trésorier d’une association ?
Vous avez probablement fait appel à vos compétences en tenue de registre, comptabilité voire communication orale quand vous présentez les comptes à l’assemblée générale.
Vous chinez ou brocantez ?
Certainement que vous avez développé des compétences en négociation.
Dans cette troisième partie, listez tout ce que vos activités personnelles vous ont permis de développer comme compétences.
Vos compétences naturellement reconnues
On fait peut-être aussi appel à vous pour vos qualités naturelles, et vous n’y pensez sûrement pas.
Peut-être qu’on vous demande conseil lorsque l’on a un problème informatique, lorsque l’on ne sait pas comment s’habiller ou qu’on fait appel à vous pour raconter ses problèmes de cœur…
C’est certainement que vous avez des compétences informatiques supérieures à la moyenne, que vous avez du goût pour associer les couleurs ou que vous avez une excellente capacité d’écoute.
Réfléchissez à quelle compétences votre entourage fait appel lorsqu’il vous sollicite et notez-les.
Notez également les actions, en dehors du travail, pour lesquelles vous recevez des compliments le plus souvent. Il y a certainement des compétences que vous avez négligées.
Faisons le point
Cette auto-évaluation est sous-estimée par rapport à la réalité ou par rapport à un bilan de compétences formel. Néanmoins, elle remplit deux objectifs.
Le premier:
Vous donner un peu de recul sur vous-même et de prendre conscience que vous avez acquis au cours de votre vie un nombre de compétences non-négligeable.
Vous disposez désormais d’une liste de compétences que vous pourrez faire valoir à leur juste titre et que vous pourrez illustrer par des exemples concrets.
Le deuxième:
Vous disposez désormais d’un outil pour identifier les points qui vous bloquent. Ce n’est que maintenant que vous allez pouvoir vous fixer des objectifs réalistes pour obtenir petites victoires après petites victoires, sans vous décourager.
Vous n’avez pas atteint un niveau de compétence suffisant dans un domaine important pour votre carrière ou votre vie personnelle ? Vous pouvez vous former de trois façons pour développer cette compétence :
- L’autoformation : Suivant le domaine, vous pourrez trouver de quoi progresser dans des livres, sur internet ou via des associations.
- L’entraide : Si vous connaissez un expert du domaine, il pourra certainement vous transmettre les clefs qui vous manquent. Profitez-en pour prendre des notes et vous constituer un catalogue de procédures standardisées (voir ci-après).
- La formation : Il existe certainement une formation professionnelle ou non pour développer cette compétence. Parfois, vous aurez même accès à une certification de vos compétences. Ceci pourra constituer un avantage supplémentaire. En ligne, les formations pourront vous permettre de progresser à votre rythme et selon vos disponibilités.
En progressant ainsi, vous allez prendre confiance et retrouver une certaine zone de confort. Et plus vous retrouverez confiance en vous, plus il vous sera facile d’être fier de ce que vous avez accompli. C’est à partir de ce moment que vous ne dénigrerez plus votre travail, parce que vous saurez de façon objective que vous êtes compétent.
Créez des procédures standardisées
Personne ne vous demande de tout connaître sur tout. Mais parfois, quand on manque de confiance en soi, on a tendance à demander plusieurs fois le même conseil, poser la même question.
Ca nous rassure de demander constamment la validation de ce que l’on fait.
Sauf qu’en face, on a l’impression de perdre son temps ou de ne pas être écouté. Et si on s’énerve contre vous, vous perdez un peu plus en confiance.
Un remède peut vous aider. Ce sont les procédures standardisées.
Lorsque vous vous faites expliquer une tâche, prenez des notes détaillées. Une fois au calme, rédigez une procédure pas à pas, étape par étape de la tâche en question.
Vous n’aurez plus qu’à vous reporter à votre fiche de procédure la prochaine fois que vous aurez à réaliser cette tâche.
Si vous vous créez un catalogue de procédures standardisées, vous limiterez les erreurs et les angoisses.
Progressivement, vous développerez des automatismes jusqu’à ne plus avoir besoin de votre fiche.
Créez des modèles pour les courriers types que vous envoyez régulièrement, créez des notes pour chaque problème informatique rencontré et décrivez la solution.
Vous gagnerez en autonomie, en confiance et le plus important : N’oubliez pas de rajouter vos nouvelles compétences à votre bilan.
Enfin, obtenez des petites victoires et progressez pas à pas
Savez-vous comment on court un marathon lorsque l’on n’est pas sportif ?
On commence par courir un kilomètre, puis deux, puis trois… Et un jour on court les 42 kilomètres qui nous séparent de la ligne d’arrivée.
Ce que je veux vous dire ici, c’est que se fixer des objectifs hors de portée peut vite vous décourager. Par contre, en faisant de petits progrès chaque jour, vous gagnerez en confiance tout en vous rapprochant de votre objectif final.
Vous ne vous transformerez pas du jour au lendemain en quelqu’un d’extraverti qui déborde d’assurance.
Par contre, en réduisant les situations où vous avez pris l’habitude de vous dévaloriser, et en vous autorisant à exprimer votre avis, vous gagnerez progressivement en confiance.
Rome ne s’est pas faite en un jour, votre révolution intérieure prendra également un peu de temps.
N’abandonnez pas vos passions
Pour se faire plaisir et obtenir un peu de satisfaction personnelle, il n’y a rien de tel que de faire quelque chose que l’on aime.
Il y a quelques années, j’écrivais un article sur le burnout pour un autre site web.
Je me rappelle d’une étude clinique qui montrait que les médecins qui avaient un hobby ou une activité extra-professionnelle diminuaient leur risque de burnout par deux.
Parce que faire quelque chose qui nous plaît nous apaise psychologiquement. Lorsque l’on progresse dans le sport, la sculpture, la peinture ou même les mots croisés, cela renforce notre confiance en nos capacités.
Mais quoi que vous fassiez, vous n’avez pas besoin d’être un as de la discipline pour profiter des bénéfices de vivre votre passion. Il vous suffit d’être vous et de faire quelque chose qui vous (re)donne le sourire.
Parce que l’objectif de tout ce que je vous raconte ici, c’est peut-être simplement ça: retrouver le sourire.
Le changement c’est maintenant ⛗
Je tiens à signaler que ce titre n’a rien à voir avec le slogan d’un ancien candidat à la présidentielle française. Il utilise juste les mêmes mots, dans le même ordre. ❌AUTOCENSURE: NE JAMAIS RABAISSER SON TRAVAIL AVANT QU’IL AIT ÉTÉ ÉVALUÉ.
J’ai conservé ce titre car je pense que pour obtenir vos petites victoires et atteindre tous vos objectifs, vous ne pouvez pas remettre à demain.
Le manque de confiance en soi nous pousse à procrastiner. Pourtant, ce sont ces petites victoires qui nous font avancer et qui nous réconcilient petit à petit avec nous-mêmes.
Pour avancer en confiance:
Nous sommes toujours plus motivés si nous ne sommes pas seuls.
C’est pourquoi j’ai créé Startup Now, dans le but de développer une communauté d’entraide où l’on partage ses compétences et son vécu pour aider les autres à progresser.
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Alors, à tout de suite !
Ludovic.
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