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Et si je vous disais qu’il est possible de vivre la vie dont vous rêvez ? Que vous pouvez avoir du plaisir à vous lever le matin pour accomplir des tâches qui vous rendent fier de votre travail ? Ou que vous pouvez gagner votre vie sans subir votre travail, que vous pouvez être le capitaine qui guide votre vie professionnelle et votre vie privée ?

Vous vous diriez sûrement : « Encore un marchand de tapis, qu’est-ce qu’il va encore chercher à me vendre ? »

Pourtant je ne vous vends rien dans cet article. Si j’espère quelque chose, c’est de vous apporter de la motivation pour devenir acteur de votre vie. De vous montrer qu’il est possible de retrouver du sens dans ce qu’on fait. Et peut être vous apporter ce déclic qui ouvre le champ des possibles.

Le bilan

Il arrive toujours un moment dans la vie, où on regarde derrière, où on fait un bilan de sa vie et où on constate l’écart entre le réel et nos rêves d’enfants. Et ça fait mal.

Ça fait mal, non pas parce qu’on n’est pas devenu astronaute, chevalier ou ambassadrice de l’ONU. Non, ça fait mal parce qu’on aurait voulut se sentir plus utile et plus épanoui dans notre vie professionnelle.

La voie toute tracée

On aurait tort de croire que cela ne touche que ceux qui n’ont pas assez travaillé à l’école et qui se retrouvent bloqués dans leur carrière aujourd’hui. Bien au contraire, beaucoup ont fait de grandes études, avec la promesse de décrocher un meilleur travail, où ils gagneraient plus d’argent.

Au final, ils se retrouvent à être surqualifiés, pour faire des tâches parfois absurdes. Le tout commandé par un manager à peine sorti de l’école et qui ne comprend rien à leur travail.

C’est ce que David Graeber a nommé les « bullshit jobs », les jobs à la con en français. Ces activités qui n’ont aucun réel intérêt pour la société… Mais qui permettent de payer les factures.

Dans ce genre de « métier », années après années, on démissionne intérieurement. Parce qu’on perd la motivation. On se rapproche de plus en plus de l’automate. On attend les prochaines vacances où on ira se faire plaisir.

Et puis, retour à la réalité (dans le meilleur des cas, parce que s’il a plu toute la semaine…).

Le problème

Nous sommes nombreux à avoir suivi une voie toute tracée. Cette voie que l’école a tracée pour nous, celle que l’école a décidée que nous devions suivre en choisissant qui aura le droit de faire telles ou telles études, et qui n’y aura pas le droit.

Et même si nous avons eu la chance de suivre le chemin que nous voulions, ce qu’on y trouve à l’arrivée c’est un lot de désillusions qui se transforme en lot de consolation pour la vie.

Le renoncement

On a pourtant parfois des rêves qui nous traversent l’esprit. On se verrait bien faire autre chose, vivre de sa passion, entamer une nouvelle carrière, créer sa propre boîte.

Mais la peur du changement, le manque de soutien de l’entourage, les factures à payer ou simplement les propres barrières que l’on se fixe douchent rapidement notre motivation. On n’ose pas, on angoisse.

Alors, on renonce. Ce renoncement se transformera en regrets et parfois en remords lorsque l’on verra que d’autres vivent notre rêve à notre place.

Vous n’êtes pas seul

Si vous vous reconnaissez dans ces lignes, ce n’est pas grâce à une technique d’écriture chère aux astrologues. Un mode d’écriture qui ferait que chacun peut s’identifier à ce que l’on raconte.

Non, si ce que je dis vous parle, c’est que nombreux sont ceux qui constatent qu’ils ne sont pas à la place où ils aimeraient (devraient) être. Et j’en ai fait partie.

L’insouciance

Je n’ai jamais eu de soucis pour les études, et j’ai eu la chance de choisir ce que je voulais faire. J’ai entamé une carrière dans la recherche et je voulais sauver le monde, trouver des solutions, c’est là que je me sentais utile.

J’étais entouré de gens passionnants, de gens qui avaient donné ses lettres de noblesse à la recherche française.

Mais, je voyais déjà que petit à petit, ces vétérans de la recherche étaient remplacés par une nouvelle génération de chercheurs d’un nouveau genre.

Des marketeurs de la science, arrogants, plus intéressés par leur notoriété que par le service rendu au public, qui pourtant payait leur salaire. Ils étaient incapables de répondre à cette question que devrait se poser chaque chercheur : « Qu’est-ce que j’apporte à l’humanité en faisant ce que je fais ».

J’ai néanmoins toujours réussi à trouver des personnes que j’estimais pour collaborer avec elles. Jusqu’au jour où…

La chute

Alors que nous demandions le soutien d’une entreprise pharmaceutique pour la tenue d’un essai clinique, la réponse fut cinglante : « Vous allez traiter des patients avec des médicaments qui coûtent 3€ pour trois mois de traitement afin d’empêcher les métastases ? Nous traitons les métastases à 2500€ la semaine. »

C’est là que la désillusion a commencé.

L’université se faisait le relai de cette entreprise, nous mettait des bâtons dans les roues, tentant de bloquer chacun de nos projets. J’ai découvert un nouveau monde, où l’objectif n’est plus de trouver des solutions ni de sauver des vies.

Un monde qui ne me correspondait pas et où je n’avais pas ma place.

J’ai décidé de quitter la recherche. Mais voilà, je savais ce que je ne voulais plus, mais je n’avais aucune idée de ce que je pourrais faire d’autre. C’est dans ces moments où la confiance en soi commence à être attaquée.

Le déclic

Comme je n’aime pas rester les bras ballants en attendant que les choses se passent, j’ai saisi l’opportunité de rejoindre la couveuse d’entreprises Innopark pour 6 mois. C’est une structure qui aide les futurs créateurs d’entreprise ou les personnes en reconversion professionnelle à valider la solidité de leur projet.

J’y ai rencontré des dizaines de personnes aux profils différents, du quinquagénaire à qui l’on dit qu’il est trop vieux pour continuer à faire le métier qu’il a toujours fait, au trentenaire qui voudrait bien monter sa startup mais qui ne sais pas par où commencer en passant par les quarantenaires désabusés par leurs « bullshit jobs ».

Ce que je n’imaginais pas

C’est que beaucoup de ces personnes hésitent à changer de voie parce qu’il leur manque quelque chose qui me semblait naturel:

De la méthode pour valider son idée de reconversion ou d’entreprise, savoir gérer un projet, savoir le défendre auprès du public, auprès de ses proches, obtenir des gages de réussite pour ne pas sauter vers l’inconnu.

C’est là que j’ai ressenti le déclic.

Je pouvais aider ces gens, leur montrer comment planifier, leur montrer comment convaincre, leur montrer comment tester. J’étais de nouveau utile et je faisais quelque chose qui avait du sens pour moi.

Le mirage internet

Quand on s’autorise à rêver un peu, qu’on cherche des informations sur la création d’entreprise ou la reconversion professionnelle on se tourne bien souvent vers internet. Et là, c’est la foire d’empoigne !

On trouve des vendeurs de rêves promettant de vous révéler leur méthode secrète pour devenir riche et célèbre, rapidement, sans effort et sans travailler. Et si vous n’y arrivez pas ? Ils vous culpabilisent en disant que vous n’avez pas le bon « mindset » (c’est plus vendeur qu’ « état d’esprit »).

Dans la vraie vie, il n’y a rien qui vous tombera tout cuit dans les mains et il y a peu de chance que vous deveniez riche du jour au lendemain en restant dans votre canapé.

Mais avec un peu de travail, de la méthode et en avançant un pas après l’autre, vous pourrez atteindre n’importe quel objectif. Bien sûr, le temps nécessaire dépendra d’où vous partez et du temps que vous pouvez investir, mais vous en êtes capable.

C’est la raison pour laquelle j’ai créée Startup Now. Vous aider à atteindre vos objectifs.

Imaginez votre futur idéal

Si je vous demande d’écrire sur un papier l’objectif idéal que vous souhaiteriez atteindre sans vous mettre aucune limite.

Probablement qu’aujourd’hui, cet objectif ressemble plutôt à un rêve inatteignable.

Maintenant, si vous découpez ce gros objectif en plusieurs petites étapes, beaucoup plus réalistes. Peu importe le nombre d’étapes.

N’arrivez-vous pas à créer un chemin qui relie la situation d’aujourd’hui à l’objectif final ?

Si vous êtes prêt à suivre ce chemin et à vous donner les moyens d’atteindre votre objectif, nous serons ravis de vous compter parmi les membres Startup Now.

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